Psychologie sociale S2
15/01/2014
Les théories de l'attribution
L'attribution est l’interaction quotidienne : il roule vite parce qu'il est énervé → attribution à la personne. Les recherches sur l'attribution ont été inaugurées des 1944 et surtout en 1958 dans un ouvrage de Heider « La psychologie des relations interpersonnelles ». Il définit l’attribution comme : « le processus par lequel l'homme appréhende la réalité et peut la prédire et la maîtriser. C'est la recherche par un individu des causes d'un événement, cad, la recherche d'un structure permanente mais non directement observable ». Le besoin de faire des attribution est lié au besoin de contrôle des individus sur leur environnement.On cherche a savoir pourquoi telle personne à telle comportement dispositionnel, situationnel.
L'analyse naïve de l'action (heider, 1958)
C'est l'analyse de tout le monde. Heider a écrit « les personnes sont perçues comme ayant des aptitudes, comme agissant par rapport à des buts, comme ayant des désirs et des sentiments, comme nous percevons ou nous observons. ». énumérer c'est différentes modalités, c'est faire appel aux concepts de la psychologie populaires ou naïve. Avec cette psychologie des relations interpersonnelles, Heider a été totalement incompris à son époque, il voulait rendre compte de la psychologie du sens commun, c'est à dire, celle que l'on utilise au quotidien pour interagir avec les autres. Il a été a la base d'un nouveau courant de recherche qui s'opposait intégralement au béhaviorisme en postulant qu'en permanence l'homme cherche à connaître le monde pour mieux y agir.
Il a transformé la machine à répondre que les béhavioristes avaient fait du sujet en un homme rationnel qui traite toutes les informations qu'il reçoit. A la suite d'une expérience de Michotte, Heider et Simmel (1944), on constate que les sujets observateurs attribuent des intentions aux figures, qu'ils les personnifient et qu'ils expliquent certains des mouvements en terme de causalité. L'hypothèse de Heider : les gens, dans les relations humaines, réagissent de la même façon que face à des figures géométriques.
Le processus d'attribution permet de simplifier l'environnement qui comprend de multiples informations face auxquelles l’individu éprouve le besoin d'organiser pour rendre cet environnement stable et prévisible. (Quand on a vécu une situation on a pris de l'expérience, si on la revit on prendra en compte notre expérience pour savoir quoi faire, anticiper rapidement.) Il y a certains facteurs de causalité qui se rattache directement à la personne, dans ce cas, on parle de causalité interne ou dispositionnelle (en rapport avec soi, untel roule vite parce qu'il est énervé). Dans d'autres cas ce sont des facteurs qui se rattachent à l'environnement, on parle d'attribution externe ou situationnelle (untel roule vite parce que quelqu'un le suit).
Dans le cas d'une causalité interne, Heider insiste sur le critère d'intentionnalité. Dans un sujet responsable, il y a le critère d'intentionnalité. Il va proposer 5 niveaux dans la responsabilité qui unit une personne à un acte.
○ il faut que l'observateur puisse associer l'action à l'acteur. La personne est tenue pour responsable des effets.
○ L'acteur est une condition nécessaire à la production de l'acte observé.
○ l'acteur avait la possibilité de prévoir et d’empêcher l'action
○ la responsabilité se traduit en terme d'intentionnalité, l'action doit avoir été commise intentionnellement.
○ l'action ne doit pas pouvoir être attribuée à l'environnement mais uniquement à la personne elle même.
Les niveaux 2 et 4 peuvent être comparé a ce que Piaget appelait le stade de responsabilité objective et subjective. Les stades 4 et 5 déterminent l'attribution en terme de causalité interne. Heider s'est intéressé au degrés de ressemblance entre l'acteur et l'acte et il a pu dégager des facteurs importants comme la proximité et la distance. Ainsi, si deux événements se déroulent à proximité, l'un sera perçu comme la cause de l'autre. Les travaux montrent aussi qu'on fait plus d'attribution dispositionnelle que situationnelle. On va avoir tendance a faire rapprochement entre l'action et l'acteur qu'entre l'action et la situation.
Dans les idées exposées par Heider, le processus d'attribution permet à l'individu d'expliquer son comportement et celui d'autrui en fonction des caractères de la personne et/ou de la situation. Ce mécanisme répondrait aux besoins d'organiser son environnement de façon plus cohérente afin de le rendre prévisible.
la théorie de l'inférence correspondante (Jones & Davis, 1965)
objectif : obtenir des explications stables pour un comportement observé. Il s'agit de l'inférence d'une correspondance entre le comportement observé et une disposition stable de l'acteur.
Ce modèle ne s'adresse qu'aux attributions dispositionnelles/internes et en particulier a propos d'autrui, c'est de l'hétéro-attribution. Ces auteurs ont essayé de décrire comment un observateur arrive à faire des attributions internes. Leur modèle repose sur le principe d'élimination. Il postule que face à une action on est capable de décider, s'il s'agit d'un accident ou pas.
S'il s'agit d'un accident, ce n'est pas la peine d'aller plus loin dans le raisonnement car on ne peut attribuer à l'acteur aucune intention. Si on considère que l'acteur savait ce qui allait se produire, qu'il avait une intention, on passera à la deuxième étape qui consiste à isoler les effets spécifiques qui vont servir à l'attribution. Dans leur modèle il est important de s'assurer de la liberté de choix de l'acteur. Il faut qu'il est le choix entre plusieurs actions possibles pour que l'observateur soit sur que l'acte est du à la volonté de l'acteur.
Lorsque la liberté du choix de l'acteur est reconnu, le processus d'attribution se déroulerait selon trois étapes :
le sujet observateur repère les effets d'une action
il les compare aux effets des actions possibles mais non effectuées par l'acteur pour déterminer les effets communs et spécifiques
il établit une correspondance entre l'action, une intention et une disposition en se basant sur les effet spécifiques.
Un autre facteur de la théorie est la désirabilité sociale. Pour que le choix d'une action estt une valeur informative, il faut que ce choix ne soit pas effectué par tout le monde.
Ces auteurs (jones, davis, gergen ) ont fait l’hypothèse qu'un comportement qui est conforme à une rôle socialement désirable nous informe peu sur les traits de personnalité d'un individu.
Expérience
Présentation du candidat
| extraverti | Introverti |
astronaute | Hors rôle, indésirable | Dans le rôle |
Sous marinier | Dans le rôle | Hors rôle, indésirable |
Tache des sujets :
→ évaluer le candidat sur la dimension introversion/extraversion
→ indiquer leur confiance en leur jugement
Dans cette expérience les sujets écoutaient des entretiens de candidatures soit à un poste de sous marinier soit à une poste d'astronaute. Le postulant était un compère de l’expérimentateur qui lui décrivait quelles étaient les qualité requises pour être astronaute (introversion) et pour être sous marinier (extraversion). Ensuite, le compère répondait à une série de questions et son comportement verbale était soit dans le rôle soit hors rôle. Les résultats montrent que c'est lorque le comportement verbale du compère est en désaccord avec l'idéal du recruteur, qu'on le décrit en toute confiance, vraiment intro ou extravertie. Ainsi, les sujets retiennent les aspects non conformes de la conduite comme indicateur de ces intentions.
→ modèle réduit.
Le modèle Anova ou des cubes attributionnels (Kelley, 1967)
C'est un modèle plus général que celui de Jones & Davis car il s'adresse aux attributions qui concernent la personnes, le stimulus, les circonstances et parce qu'il concerne autant les hétéro attribution(autrui) que les auto-attribution (moi). Dans ce modèle l'individu se livre à une analyse de la covariation entre les causes possibles et les effets observés des comportements. Pour comprendre le déterminisme d'une conduite, un observateur doit disposé d'informations sur 3 éléments :
la personne qui émet la conduite
le stimulus qui a fait l'objet d’une réaction de la personne
les circonstances dans lesquelles la conduite à été réalisé.
○ de la personne on va en déduire la consistance
○ du stimulus on va en déduire la distinctivité
○ les circonstances feront naître le consensus
L'expérience de Mc Arthur état destiné à ester le modèle théorique de Kelley. Il a présenté à 6 étudiants, 16 affirmations concernant des réactions émotionnelles concernant des opinions ou des croyances, des actions ou des performances.
La théorie de l'auto-perception (Bem, 1972)
05/02/2014
Les biais attributifs
Le biais est une tendance systématique à faire soit des attributions externes soit des attributions internes en fonction du type d’événements et du type d'acteurs. Les théoriciens ne sont pas tous d'accord sur l'origine de ces biais. Pour certains, ils sont dus à des facteurs cognitifs, cad, le traitement de l'information et pour d'autres, ils proviennent des motivations du sujet percevant.
○ le biais d'autocomplaisance : lorsque l'on fait une attribution interne pour quelque chose de positif et externe pour quelque chose de négatif. On appelle cela des attributions asymétriques.
l'hypothèse cognitive qui porte sur l'effet du traitement insuffisant des informations. Pour Miller et Ross 1975, ce sont des facteurs cognitifs qui sont à l'origine de ce biais qu'ils expliquent comme ça : l'individu qui est engagé dans la réalisation d'une performance s'attend logiquement à réussir ainsi il va s'attribuer la réussite car cela confirme ces attentes mais il va attribuer l'échec à des facteurs externes.
L'hypothèse motivationnelle : pour d'autres auteurs les attributions autocomplaisante relève des motivations. Lorsque la performance d'une tâche peut affecter l'estime de soi de l'individu, celui ci, va attribuer l'échec à des causes externes et le succès à des causes internes. Cela permet donc de préserver le niveau d'estime de soi. Pour d'autre chercheurs, les attributions internes de la réussite serviraient à conserver l'affect positif tandis que les attributions externes réduiraient l'impact négatif de l’échec. Quand il s'agit d'expliquer la performance devant un public, les gens font plus d'attribution externes pour le succès et plus d'attribution interne pour l'échec car ils savent que la modestie est appréciée.
L'effet des normes sociales : Beauvois et Dubois 1988 ont proposé une interprétation sociétale en terme de normes sociales. Il existerait dans les société occidentales, une valorisation de l'internalité qui inciterait les individus à faire des attributions internes plutôt qu'externe pour leurs échecs car ça les rend plus appréciables.
Le complémentarité des facteurs cognitifs et motivationels : l'analyse du biais d'autocomplaisance en terme exclusivement cognitifs ou exclusivement motivationnel apparaît peut productive car il est difficile de séparer l'influence de ces deux types de facteurs. Des recherches ont confirmées l'existence de ce biais mais il serait davantage observable avec les occidentaux, les adultes d'un certains age, les sujets sains qu'avec les orientaux ou les sujets souffrant de dépression et d'anxiété.
○ l'erreur fondamentale d'attribution a été utilisée par Ross en 1977 pour décrire la tendance générale des sujets percevant ou observateurs à faire des attributions internes pour expliquer les conduites des autres alors que des causes externes pourraient en rendre compte. Contrairement au biais d'autocomplaisances, les deux interprétations disponibles mettent l'accent sur des facteurs cognitifs et sur des facteurs culturels. Les interprétations cognitives ont été beaucoup plus productives pour expliquer ce type d'erreur.
interprétation cognitive : la saillance (pour être vue, ce qui ressort) du comportement. La première explication met l'accent sur le traitement d'informations d'ordre visuel. Heider 1958, illustre ça par la formule « le comportement envahi le champ ». Ce qui s'impose en premier c'est le comportement de la personne (qui parle et qui bouge). Tout cela retient notre attention et va nous empêcher de voir le décors ou la situation dans laquelle le comportement se déroule. Comme nous somme focalisé sur l'acteur, c'est naturel de lui attribuer la cause de l'événement.
Interprétation cognitive : l’identification et l'inférence de disposition : pour Trope 1986, l'attribution dispositionnelle serait le résultat d'un processus qui se modéliserait en 2 étapes : l'identification et l'inférence de disposition.
IC : l'automaticité de l'attribution dispositionnelle : Gilbert, Pelham, Krull 1988, ils proposent un modèle qui suggère que l'attribution dispositionnelle et automatique est peu coûteuse, ce qui n'est pas le cas de l'attribution situationnelle. Si le sujet percevant est distrait par des tâches multiples, il n'aura pas les ressources cognitives nécessaires pour un traitement d'information important. Les sujet qui sont moins occupés cognitivement ont plus de temps à consacrer à un traitement approfondi et donc seront plus amènes de faire des attributions situationnelles. Il ont proposé un paradygme : les participants écoutent une personne lire un discours pour ou contre l'avortement, ils savent que le discours a été imposé au lecteurs. La moitié des participants devaient juste écouter le discours, l'autre moitié devait écouter et se préparer à présenter un discours similaire. Comme prédit par le modèle, les participant qui était cognitivement peu occupé, c'st à dire qui n'anticipaient pas de présenter un discours ont attribué le discours de l'acteur à la situation. Au contraire ceux qui étaient occupés cognitivement l'ont attribué à l'attitude de l'acteur.
Effets des facteurs culturels : A l'inverse des interprétation cognitive qui place le sujet percevant à l'origine de l'erreur fondamentale, l'interprétation culturaliste va mettre l'accent sur la société ou la culture. Cette approche s'appuie sur le constat que l'érreur fondamentale n'est pas universelle. Les attributions dispositionnelles, sont plus fréquentes en occident qu'en orient : la culture occidentale étant individualiste, o va placer l'individu en avant et il sera vue comme seul responsable de ses actes. A l'opposé, les cultures orientales où africaines sont des cultures collectivistes qui ne placent pas l'individu au devant de la scène.(Ref. Triandis(1994)). Cet effet de la culture transiterait au travers des apprentissages qui nous apprendraient à faire des attributions dispositionnelles. C'est ce que confirment les travaux de Kassin et Prior en 1985 qui ont montré que l'on ne fait pas des attributions dispositionnelles à tous les âges. Par exemple, il y a des expériences avec des enfants dans lesquelles on manipule les facteurs liés a la situation et a l'acteur. On voit que les attributions sont toujours faites à la situation, c'est seulement vers la fin de l'enfance que les enfants deviennent capables de faire des attributions dispostionnelles.
○ l'effet acteur-observateur
Cet effet a été proposé pour décrire les différences entre l'acteur et l'observateur concernant l'explication des mêmes événements. Il apparaît que l'acteur a tendance a donner des explications externes pour ces actions alors que l'observateur donne des attributions internes. Ce phénomène a été décrit par Jones et Nisbett en 1972, il a été reproduit das de nombreux travaux ou on a comparé les attributions d'un même événement auprès de l'acteur et auprès de l'observateur. Cependant il y a d'autres études qui montrent que dans certaines conditions, cet effet s'inverse ou il ne se produit pas du tout.
La différence de perspective visuelle est expliquée de la manière suivante : l'acteur est impliqué dans l'acte il est donc occupé ce qui explique qu'il va attribuer ses comportements à la situation. Par contre l'observateur se focalise sur l'acteur avec : le comportement envahi le champ.
l'histoire de l'acteur : selon cette explication, l'observateur est privé des informations qui concernent l'acteur, son histoire, motivations, sentiments qui l'auront influencés dans son action. L'acteur en possession de toutes ces informations sera mieux placé pour apprécier la covariation entre ses états internes et l'évenement.
○ l'erreur ultime d'attribution : son insertion dans le contexte des rapports inter-groupes qui sont sous-tendus par deux processus :
catégorisation sociale (Tajfel 1971) : ça indique que l'on différencie systématiquement entre les membres de notre groupe que l'on appelle l'endogroupe et les membres des autres groupes : exogroupe.
Nous entretenons des stéréotypes et des préjugés à l'égard des membres de l'autre groupe qui sont considérés comme des rivaux potentiels. On peut donc dire que notre perception de l'autre groupe est influencé par un biais de négativité. La notion d'erreur ultime d’attribution a été crée par Pettigrew.. en 1979, pour décrire comment les explications que nous donnons aux comportements des membres des autres groupes sont biaisés par notre appartenance groupale. Des membres de notre groupe s'engage dans des actions bénévoles, on attribue leur acte à leur disposition. Les membres de l'autre groupe accomplisse les mêmes actions et on dit qu'ils le font pour se faire bien voire. Cette erreur est à classer dans les attributions asymétriques. En se situant au niveau des rapports intergroupes, ce biais d’attribution peut prendre un caractère beaucoup plus dramatique que l'erreur fondamentale d’où l'idée de l'appeler erreur ultime. « lorsque des questions de race et d'etthnie sont en jeu, ces attributions prendront la forme de croyance selon lesquelles ses actions résultent de caractéristiques génétiques, immuables des membres du groupe dénigré... »
3 études :
Guimond et Dubé 1989 : ils ont comparé les attributions d'étudiants provenant d'une université francophone ou anglophone de mont réal à qui ont demandaient d'expliquer pourquoi le groupe francophone occupait position eco inférieur. Selon l'erreur ultime d'attribution, on observe que les étudiants anglophones font davantage d'attributions internes mettant en cause certaines caractéristiques des francophone mais ils mettent l’accent sur facteurs eco.
Taylor et Jaggi 1974 : inde, contexte relation entre hindou et musulmans cette étude révèle qe le même comportement positif est attribué à des causes internes surtout lorsque l'auteur est membre de l'endogroupe (hindou) plutôt que membre de l'exogroupe.
Morris et Peng : examiné dans journaux new-yorkais anglais chinois le traitement réservé aux mêmes meurtres. Ils observent que les reporters américain attribue le comportement du meurtrier à des causes internes. Ces résultats suggèrent que l'erreur fondamentale est un phénomène de la culture individualiste américaine, beaucoup plus que de la culture chinoise. Pour étudier l'erreur ultime d'attribution, ils ont sélectionné tous les articles de journaux qui concernaient meurtrier américain/chinois. Conformément au modèle il montre que reporters américains expliquent meurtres de manière différente selon nationalité du meurtrier.
L'influence sociale
Pour psy sociaux, influence = concentrée sur le groupe. Société, org, famille, peuvent pas exister sans imposer a tous membres reglles communes, conventions, normes. Moscovici montre que influence → double sens : 1. groupe-individu : individus se conforme au normes. 2. individus-groupe : non conformisme, innovation, permet changement.
la normalisation (l'effet autocinétique, Shérif, 1935)
travaux portent sur pb de élaboration de norme collective qui est définie comme : « échelle évaluative indiquant une latitude acceptable et une latitude inacceptable pour le comportement, l’activité, les croyances... ou tout autres sujets concernant les membres d'une unité sociale. »
1935 : expérience qui place sujets dans situation ambiguë de manière a étudier processus d'influence et processus d'élaboration de normes (individuelles interindividuelle ou collective) qui sont nées de cette situation.
Cette appellation est liée aux astronomes qui avaient remarqué que lorsque qu'on observait étoile sans point de référence, elle donnait l'impression de bouger. Shérif eu l'idée de reproduire effet de manière expérimentale en plaçant dans obscurité totale une source lumineuse et sujets devaient évaluer ses déplacements.
Déroulement : sujet seul avec expérimentateur. (condition 1) sujet se trouve avec groupe selon 2 procédures (condition2) : - les sujets ont subit isolément l'expérience puis ils sont mis après coup en présence les uns les autres pour voir l'effet de l'interaction sociale quand la norme individuelle a été établie. 2E procédure : sujet introduit dans un groupe sans avoir expérience individuelle antérieur et il est ensuite soumis à une expérience individuelle. Ceci pour voir si le sujet continu à appliquer normes collectives établies en groupe.
Ce sont des étudiants hommes dans pièce obscure 3 m de large et a 5 m d'une source lumineuse de la taille d'une tête d'épingle. Grande majorité : lumière bougeait. Devant chaque sujet il y avait un manipulateur pour indiquer a partir de quel moment le sujet percevait le déplacement du point. Apres disparition de lumière sujets comuniquaient oralement amplitude du déplacement du point. Chaque sujet faisait plusieurs série de 100 évaluations échelonnées sur plusieurs jours.
19/02/2014
En condition individuelle, il se produit une normalisation individuelle lorsque le sujet perçoit les mouvements sans cadre de référence externe. Chaque sujet établie un écart de variation et un point de référence subjectif à l’intérieur de cet écart.
Condition de groupe : d'abord en situation individuelle, 100 estimation et jours suivant avec groupe. On observe que le sujet qui a commencé seul et qui est ensite placé dans un groupe voit sa norme converger vers celle du groupe. Norme individuelle → norme collective. Dans le cas d'un début au sein d'un groupe on constate si le sujet ensuite repasse seul qu'il conserve la norme collective établie en groupe. Norme collective → conservation.
Les résultats : lorsque les sujets perçoivent le mouvement d'un point lumineux sans cadre de référence externe, il se produit une normalisation subjective individuelle. Quand ils sont en situation de groupe on constate le déplacement des sujets qui ont établi une norme subjectives individuelle vers une norme collective. Donc les individus abandonnent leur position antérieure pour rejoindre les positions du groupe et pour construire un cadre de référence commun. En revanche quand ils construisent au préalable ce cadre de référence avec le groupe, il le conserve lorsqu'il affrontent seuls la même situation.
Shérif a expliqué cette convergence vers une norme centrale par des processus intra-individuels. Après shérif, d'autres chercheurs ont étudié la normalisation comme Montmollin en 1965 qui parle de marge de vraisemblance qui signifie que chaque sujet au delà d'un certain écart ne tiendrait pas compte des réponses les plus extrêmes. Moscovici a proposé d'interpréter le processus de normalisation comme un mécanisme d'évitement du conflit.
L'influence majoritaire (Asch, 1951,1956)
L'influence majoritaire ou le conformisme est l'acceptation et la soumission à la norme dominante. Du point de vue sociologique, la société doit maintenir l'ordre social. Pour cela, il est nécessaire d'avoir des regles communes et des normes partagées. Ainsi, la société se préserve par le processus de conformité.
Du point de vue psychologique : l'individu pour mieux se comporter dans son environnement doit juger et valider la réalité. Dans ce cas il se tourne vers les autres membres de la société et c'est la qu'intervient le processus d'influence sociale. C'est ce qui permet de rendre notre comportement et celui des autres prévisibles. Dans la normalisation le facteur essentiel est l'ambiguité du stimulus. Dans expérience de Ash princeps (première), il est parti de position inverse hypothèse : quand le stimulus est clair et non ambiguë, l'individu reste indépendant aux préssions du groupe, il pense que les individus sont toujours capables de conserver leur libre arbitre. Pourtant, les résultats de cette première expérience vont montrer le suivisme aveugle des gens.
L'individu se conforme à la majorité car il ne veut pas être différent des autres car c'est quelque chose de couteux. Dans l'expérience de type Ash, le changement n'est pas une influence pure mais c'est plutot une complaisance : Kelman 1958, 3 types d'influence :
la complaisance : relation de pouvoir entre source et cible, apparaît en présence de la source.
Identification : prolongement du processus précédant, processus apparaît même quand source pas présente.
Intériorisation : modification du système de valeur de l'individu dont l'effet dure même après interaction source/cible.
uelle ligne à la même longueur que la ligne étalon.
8 étudiants. Chaque étudiant doit répondre quelle est la ligne de la même longueur. 7 donne tous la même mauvaise réponse volontairement. Le dernier étudiant est dans une situation d'isolement minoritaire, il subit deux forces contradictoire, perception et reponse unanime → ils font partis du même environnement. Le sujet naïf doit donner un jugement publique. Il doit dire ce qu'il a vu et ce qu'il a ressenti.
Ash a travailler avec 37 personnes et 18 lignes : il y a eu 3 mauvaises réponses. 18 éssais et les compaires doivent donnés 12 mauvaises réponses et la même. Dans ces conditions, 37 sujets sur 50 se trompent au moins une fois en suivant l'avis des compaires. Il a mis les sujets naïf en deux types, les conformistes et les indépendants. Les conformistes suivent la majorité. Indépendants : suivent pas la réponse des autres. Après expérimentation il va divisé sujets conformistes et indépendants. Sujet naïf : entièrement confiance dans ce qu'ils voient. Mais il y a indépendant qui son assaillis par le doute, convaincus que leur jugement est en contradiction avec celui de la majoritaire mais maintiennent leur jugement malgré la majorité. Conformistes : les soumis au niveau de l'action, dans ce cas le sujet dispose de deux réponses contradictoire et fini par opter pour la réponse majoritaire même si ça lui semble pas plus juste. Soumission au niveau du jugement : la majorité réussie a convaincre le sujet qu'il se trompe. Soumission au niveau perceptif : la majorité définissant la réalité sociale entraîne un accord spontané sans qu'il y ait conflit.
Les explications de la conformité (Festinger, 1950 ; Deutsch & Gerard, 1955 ; Moscovici, 1979)
Deutsch et Gérard ont repris protocole expérimentale de Ash, dans cette expérience le sujet naïf prenait connaissance de la majorité par un cadrant lumineux et il donnait ses réponses en privé en sachant que les autres ne seraient pas informé de ces réponses. Les résultats montrent que la majorité n'exerce aucune pression sur evaluation privée du sujet. Le premier facteur qui met en évidence le processus d'influence majoritaire est la dimension publique, cad, quand il y a communication des positions des acteurs. A partir du protocole de ash on releve deux situation qui sont indispensable pour faire apparaître conformisme du sujet pour fire apparaître position du groupe. Unanimité des réopnses des compairs et isolement du sujet. Il a etudié différens efffet et ces deux facteurs varient en meme temps → rôle essentiel. Groupe plus gros impact : nombre idéal est quand groupe est constitué de 3 ou membres.
Caractéristiques : pour que majorité ait impacte sur individu c'est pouvoir, compétence, dignité et statut social. Travaux de Howland et Weiss 1951 mettent en évidence le rôle de la crédibilité de la source dans l'influence sociale. 1962 Aronson et Golden : etudient impact de la liaison des facteurs compétence et statut social. Ces recherches ont mis en evidence l'importance de l'asymétrie dans influence sociale car source d'influence est en général celui qui possede propriete de degres elever dans echelle sociale. Mais le rôle de cible est celui qui se laisse influencer par la position sociale de la source.
26/02/2014
La question a été de savoir pourquoi l'individu se laissait influencé. Gergen &Gergen ont proposé plusieurs sources d'uniformité dans la société :
les gens suivent sans y réfléchir les règles dictée par le sens commun et ils imitent les actions des autres personnes.
La comparaison sociale peut jouer un rôle important dans la production de l'uniformité
l'anxiété peut motiver les gens à suivre les codes de conduites instaurés.
Deutsch et Gerard ont proposé deux sortes d''influences sociales :
normative : c'est la tendance à se conformer aux attentes des autres. Elle construit conduite de la dépendance. Aspect affectif
informative : c'est la tendance à accepter l'information donnée par les autres comme preuve de la réalité objective. Construit conduite de l'indépendance. Processus cognitif.
On a rattaché ces deux sortes d'influence à 2 types : les dépendants et les indépendants.
→ les raisons de l'existence de la conformité peuvent être résumée au travers de 2 grandes catégories :
les besoins affectifs et/ou cognitifs (besoin d'affiliation : le désir d'avoir des relations de sympathie avec les autres. Besoin d'approbation : désir de voir que sa propre conduite est socialement acceptée.)
ce qui concerne les besoins de réduire le conflit (le conflit n'est pas une situation agréable pour le résoudre on se conforme à la position du groupe.)
L'influence minoritaire (Moscovici et al 1969 ; 1979)
dans l'influence sociale, la conformité à pour objet d'éviter la déviance des membres par rapport à la norme dominante. Ceux qui adoptent la norme sont dits fonctionnels et adaptatifs et ceux qui ne suivent pas la norme sont appelés disfonctionnels et non adaptatifs. Ce modèle qui ne considère que les tendances à éviter l'écart par rapport a la norme sociale, moscovici l'a appelé modèle fonctionnaliste en 1979 et s'en ait servie pour élaborer sa critique. Il présente toujours une asymétrie entre les pôles sources et cibles et le changement se produit toujours à partir d'un de ces deux pôles. Dans ce modèle la majorité est active et la minorité passive. L'influence sociale est donc inégalement répartie puisqu'elle s'exerce de façon uni-latérale.
Moscovici conteste l'esxcusivité du conformisme et il montre que le modèle fonctionnaliste est insuffisant pour expliquer tous les phénomènes de l'influence sociale. C'est a l'origine des recherches sur l'influence minoritaire. En effet dans la vie de tout les jours, on constate que les gens échangent leurs idées, ils essaient de s'influencer mutuellement, on peut se trouver en situation d'indépendance ou de dépendance. Il existe d'autres types d'influences. Les travaux de moscovici ont porté sur la clarification du phénomène d'impact minoritaire : comment un individu sans pouvoir sans prestige sans compétence peut déclencher un niveau d'influence.
Il s'est intéressé à la distinction entre influence manifeste (quelque chose que l'on voit) et influence l'attente (caché). En 1969 lage et Naffrechoux et moscovici ont introduit la pmesure du changement latent en étudiant le style de comportement de la minorité. Ils ont cherché à mesurer le niveau d'influence et l'habillage necessaire de la minorité pour qu'elle puisse influencer la majorité.
4 sujet naif et 2 compères : devaient juger une couleur entre le bleu et le vert. Les réponse était données en publique et verbalement et les compères répondaient toujours vert. Les résultats montrent que 32 % des sujets vont changer leur réponse vers celle de la minorité :
la faillance numérique : la minorité est percue en focntion du nombre de membres quelle comprend mais aussi car elle introduit une nouvelle norme qui casse l'uniformité de la norme dominante. 2 tyes de minorités : active (propose nouvelle norme → crée conflit = effet perturbateur et membre de majorité essayent de franchir divergence pour établir le concenssus socialeo) et passive (s'oppose à la norme dominante sans proposer d'alternative)
laposition et proposition innovatrice
la majorité va tenter un comprommis avec minorité mais si elle cede pas les membres de la majo vont devoir faire un effort suplémentaire pour rétablir le concensus. Dans l'influence minoritaire le conflit va changer de rôle, dans l'influence majo, il est chiant et passif par contre il devient dans influence mino « le générateur du changement du code sociaux perceptifs réels ». moscovici et personnaz en 1980 ont mis en évidence le rôle souterrain et indirect de l'influence minoritaire en utilisant l'effet consécutif.
19/03/2014
La minorité pour exercer de l'influence doit avoir un style comportementale consistant, ce style a été très étudié dans processus d'innovation. Experience montre que minorité consistante exerce impact plus grand que minorité inconsistante.
L'influence d'une minorité sur la discrimination des couleurs (bleu/vert) Moscovici et al 1969
→ Groupes de 6 personnes avec 2 compères
○ minorité consistante = majorité adopte à 8,4% l'opinion verte
○ minorité inconsistante = 1,25%
→ groupe de 6 personnes sans compères
○ groupe contrôle = 0,25%
influence minoritaire : 2 grandes étapes :
Depuis, les recherches ont essayé de vérifier le rôle indirect et différés de l'influence exercé par la minorité et ses recherche ont donné naissance à la théorie de la conversion qui concerne le changement latent qui s'effectue sur les opinions et la perception d'un sujet sans qu'il en ait conscience la conversion est le changement inconscient.
La majorité obtient des résultats d'influence grâce à la relation de dépendance qu'elle exerce sur le sujet cible. Par contre la minorité exerce influence grace a son comportement consistant.
La majo représente la norme dominante, minorité = norme innovatrice
Majo = efficace niveau public / mino = niveau privé
Majo = s'exerce sans avoir de / mino= affecte système cognitivo perceptif des sujets.
Majo = influence directe / mino = indirecte et dans le temps
La soumission à l'autorité (Milgram, 1974)
Sujets recrutés par presse locale qui propose de participer à un travail de recherche sur l'apprentissage organisé par l'université de Yale. Dédommagement de 4 dollars et indemnité de déplacement. Participant accueillis dans labo avec une autre personne d'une 50aine d'années qui à l'air sympathique. On propose au deux personnes de jouer le rôle de l'élève ou enseignant et faux tirage au sort le détermine (toujours rôle de l'enseignant). On installe l'élève sur chaise électrique et on demande a l'enseignant de lui faire réciter des paires de mots et de lui administré une sanction à chaque réponse fausse. L'enseignant a un tableau avec 30 manettes qui vont de 15 à 450 Volt elles sont regroupée par catégories avec indication pour s'assurer de la bonne compréhension.
L'élève est un compère qui a pour rôle de tester l'enseignant va accepter de jouer le rôle d'un tortionnaire. Selon un procédure précise on a enregistrer les réaction de l'élève pour que ce soit toujours les mêmes : a partir de 75 volt, il gémit. 180 volt, il crie qu'il ne peut plus supporter.
Procédure de relance quand le sujet pose des questions. Si au bout de la 4e il veut toujours pas continuer on arrête l'expérience. A la fin de la séance sont informés que les chocs électriques étaient faux pour qu'ils partent la conscience tranquille. Mesure prises :
choc moyen maximal où ils refusent de continuer expérience malgré 4 relance =
pourcentage de sujet qui obéissent, qui acceptent de poursuivre l’attribution des charges jusqu'à 450 volts
Résultats : hypothèse avant exp : 130 volts (choc max) et taux d'obéissance : 0%
choc moyen max : 360 volts, taux d'obeissance : 62,5%
L'expériementateur a du pouvoir.
Facteurs/variables :
la proximité de la victime : milgram a manipulé cette proximité. Dans la cas d'un feel back vocal (le sujet entandait plainte de la victime) feel back a distance : enseignant entandait pas voi de victime mais coup qu'elle donnait contre le mur (dépersonnalise la victime : plus faible resistance des sujets qui se traduit par un degrés d'obéissance plus marqué) dans 2 autres conditions il s'agissait d'augmenter le degré de proximité avec la victime :
- l'élève et l'enseignant l'élève et l'enseignant sont dans la même pièce, enseignant peut voir et entendre sa victime
- condition de contact : sujet devait appuyer sur la main de sa victime pour qu'elle recoive les chocs electriques.
Hypothèse de milgram :
Variante | Indices de l'obéissance |
| Choc moyen maximal | % des sujets obéissants |
Feedback à distance (exp1) | 405 | 65 |
Feedback vocal (exp2) | 365 | 62,5 |
Proximité (exp3) | 300 | 40 |
Contact (exp4) | 255 | 30 |
resultats surpprenant par faibles différences qui distingue feedback vocal et feedback à distance. Entendre cris de douleur plustot que coup dans le mur ne suffit pas pour atténuer effet Milgram. Mais dans ce cas rétrécicement du champ cognitif : le sujet s'efforce d'igorer les conséquence de ses actes dans la mesure où il ne peut pas les percevoir directement comme c'est le cas dans les condition 3 et 4. dans étude originale, expériementateur se tien derriere le sujet ce qui a pour effet d'accentuer le sentiment d'être sous contrôle d'une autorité.
Dans autres expériences expérimentateur transmet ses ordres par téléphone, pas présent physiquement donc ça augmente résistance des sujets. Sujets vont mentir sur leur comportement, ils affirment avoir administré chocs intenses alors qu'ils vont donner à la victime choc très faibles. Stratégie qui leur permet de résoudre le conflit dans lequel ils se trouvent. En faisant semblant d'obéir et en épargnant leurs victimes, ils peuvent satisfaire une double exigence : demande de l'autorité et respect des valeurs morales.
○ Caractéristiques personnelles des sujets : les sujets qui ont natures soumise ont tendance à considérer que la victime est responsable de ce qui lui arrive. Ils vont attribuer cette situation en mettant en avant la maladresse de l'élève et son manque d'attention. Ils attribuent une responsabilité 2 fois plus élevée à l'élève que ne le font les sujets de nature rebelle. Les sujets qui ont nature soumises font attribution externe. Rebelle s'attribue responsabilité. Ce type de processus qui consiste à rejetter la responsabilité sur la victime en considérant qu'elle est responsable de ce qui lui arrive s'appuie sur la croyance en un monde juste. On trouve cette croyance dans les travaux d'Heider qui est le précurceur des théories de l'attribution. « si autrui est malheureux c'est qu'il a commis un péché. ». cette croyance naïve à une certaine utilité, elle permet de maintenir structure sociale sans en questionner les fondements idéologiques. Elle fourni à chacun un sentiment de contrôle sur ce qui lui arrive. S'il est arivé quelque chose de désagréable a quelqu'un, c'est qu'l s'est mal comporté donc si je me comporte bien, il ne peut rien m'arriver. Ce théorème, a reçu une validité certaine grâce à de nombreuse recherches.
La légitimité de l'autorité :
autorité de l'institution :
pour milgram, le degré de soumission enregistré en condition standard doit son importance à la légitimité de l'autorité. En effet, il s'agit d'un scientifique en blouse blance qui travaille pour univ prestigieuse. Pour tester variable, milgram a transposé labo dans un édifice commercial d'élabrer de la ville de bridgeport. L'expériementateur changeait de statut et devenait chercheur employé par entreprise privée de recherche commerciale. A part cette distinction toutes autres conditions semblable à condition standard.
Le changement lié au cadre de la procédure entraine comme attendu une reduction de la soumission des sujets. Les résultats, montrent qu'il y a 48% de personnes qui acceptent de donner chocs éléctriques de450 volts. Ceci laisse supposé q'on peut obtenir degrés de soumission important meme lrsque l'institution qui commande n'est pas investit d'une réputation.
Autorité de l'expériementateur :
une autre série d'expérimentations consiste a modifer la perception que l'on peut avoir de l'atrité de l'espérimentateur. Dans une expérience suje confronté a deux expérimenateurs qui vont rentrés en désaccord sur la suis te a donner à l'expérience
1 seul sujet sur les 19 qui continue pour s'arrêter au choc suivant.signifie que fractionnement de autorité entraine désobéissance et ça rappelle l'importance de la consistance au niveau de l'auorité. Dans autres expérience, compairs qui aident sujets dans sa tache : premier interroge l'élève et second la qualité de la réponse et en informe le sujet. Dans ce scénario : compères qui décide d'abandonner a 250 et l'autre a 210. pour poursuivre l'expérience, le sujet doit remplacer ses deux collègues. A ce stade il y en a que 10% qui poursuivent. Mais, si on exonère le sujet de l'administration de la sanction, s'il joue uniquement le rôle de l'enseignant et que c'est un compère qui donne les chocs, 92% vont jusqu'au bout de la procédure.
Explication de Milgram : les individus, doivent subir des modifications pour s'insérer dans une structure sociale nouvelle. Milgram qualifie cette étape de soumission a l'autorité d'agentique.
Il a publié en 1962, dont la préface du livre, il parle du procès d'Adolphe Eichmann qui était criminel de guerre nazis. Condamné a mort en 1962. Hannah Arendt avait une théorie inspirée de ce mec : théorie de la « banalité du mal ».
Adolphe faisait parti d'un système qui banalisait la cruauté et il ne regrettait pas ce qu'il avait fait.
Milgram montre l'utilité de l'obéissance et de l'apprentissage. État agentique : C'est quand la personne n'agit plus en son nom propre mais devient une sorte d'extension de l'appareil de l'état ou d'une personne ayant une autorité crédible ou légitime. Intériorisation d'un script de soumission
Dans l'expérience tout le monde n'a pas obéit à l'expérimentateur.
→ un prêtre a refuser de coopérer et d'administrer les chocs. Puis dans un entretien il a dit qu'il obéissait à l'autorité de dieu.
Aujourd'hui, est ce qu'on peut étudier dans le conteste de labo le phénomène que Milgram a voulu étudier ?
→ limite de la psychologie sociale car situation artificielle qui ignore le contexte historique et la mémoire collective.
→ Milgram va beaucoup trop loin dans son expérience en utilisant psychologie sociale expérimentale seulement pour un problème qui est beaucoup plus vaste. On a pas le droit de refaire son expérience.
→ depuis Wundt il y a deux psychologie sociale : expérimentale et qualitative.
Quelle méthode de psychologie sociale et quelle type de psychologie pour cette situation ? Quelle la validité écologique de cette expérience ?
Recherches reproduites dans vie quotidienne, signes nombreux : personnes qui portent uniforme, études montrent que l'on est amené à suivre représentant visible de cette autorité.
Bickman 1974, montre que les promeneur obéissent à une personne quand elle porte un uniforme.
Les piétons sont beaucoup plus nombreux à s'engager alors que le feu est rouge si le passant indiscipliné qui montre l'exemple porte un costume cravate plutot qu'un bleu de travail.
Doob et Gross 1968, ont montré que proprio de voiture de luxe n'avait pas même traitement que proprio voiture plus modeste. Dans expérience, petite voiture reste immobile alors que feu est au vert, on voit que les conducteurs klaxonnent tous alors que si voiture luxe, moitié des conducteurs attendent sans manifester.
Hofling et al 1966, se déroule dans service hospitalier. Un médecin au tel qui intime l'ordre à infirmière de garde d'administré un médicament à un des patients, plusieurs raisons qui font que l'infirmère devrait être très prudente face à cette demande :
qd interroge infirmière sur ce scénario : elles se soumettent pas au médecin, dans les faits, 95% commencèrent à exécuter.
02/04/2014
L'acceptation d'une autorité légitime constitue un élément essentiel du fonctionnement en société. Selon Milgram, l'obéissance a une autorité reconnue puise son fondement à l'origine des principaux mécanisme de régulation sociale. L'auteur ne remet pas en question ce processus il en interroge seulement la portée en montrant qu'il est diffcicile de la contester lorsqu'elle a des exigences inacceptables.